1er mai : les salariés ne doivent pas payer pour l'imprévoyance de ceux qui nous dirigent !

Alors qu'il est de plus en plus évident que la crise est le résultat d'un système économique et financier qui ne répond plus aux enjeux de développement de nos sociétés, le Gouvernement persiste dans ses mauvaises solutions. Non seulement il  refuse de revenir sur le bouclier fiscal et l'exonération de cotisations des heures supplémentaires, mais encore il remet sur le tapis le travail du dimanche. Il ne sait pas imaginer d'autre solution que le "travailler plus pour gagner plus, pour consommer plus" !
C'est une aberration. Comment peut-on croire que l'amélioration de notre qualité de vie repose sur la sur-consommation, quand de plus en plus de travailleurs perdent leurs emplois ?
Contrairement à ce que l'on veut nous faire croire, les solutions existent. Simplement elles ne répondent pas aux mêmes priorités que celles choisies par nos dirigeants. Elles ne sont pas compatibles avec la volonté de concentration des richesses dans les mains d'un cercle de privilégiés.
Il est urgent de réorienter la politique économique de l'Europe pour une économie qui valorise une activité liée aux  territoires et à leurs habitants. Accompagnons le développement d'emplois d'utilité sociale et collective, favorisons le développement d'une agriculture paysanne, facteur de qualité et créatrice d'emplois qualifiés et non délocalisables, créons un statut du salarié lui assurant des garanties sociales et un droit à la formation tout au long de soon parcours professionnel.
Prenez le temps de lire le programme programme Europe écologie, et vous verrez que les solutions existent, qu'il s'agit juste d'une question de priorité et de volonté politique.
La Cornouaille n'est pas épargnée par la crise, loin s'en faut. Voici le tract qui sera distribué à Quimper le 1er mai.