Nous y voilà, ...
...au terme d'une campagne engagée par Europe-écologie dès octobre 2008, arrive la date du vote, dimanche. Quoique veuillent bien en dire les média, cette campagne fut riche. Le programme
construit, cohérent et argumenté d'Europe-écologie a imposé la préoccupation écologique dans la campagne, à tel point que toutes les listes semblent avoir découvert les vertus de l'économie
verte.
Mais qu'on ne s'y trompe pas, cette préoccupation n'est pour beaucoup qu'une façade. Comment en effet peut-on prétendre se préoccuper de l'avenir de notre planète quand on entend développer le recours à l'énergie nucléaire ? Comment peut-on intégrer l'urgence écologique quand on refuse de s'interroger sur nos modes de vie et sur la répartition des richesses ?
Face à l'enjeu majeur du réchauffement climatique, les vraies solutions existent, et ce sont ces mêmes solutions qui nous permettront de surmonter la crise économique et financière qui frappe durement les plus fragiles d'entre nous. Ce sont des solutions concrètes, de bon sens, qui ont déjà été testées et qui ont fait leurs preuves.
La conversion écologique de l'économie, accompagnée d'un contrat de conversion pour les travailleurs qui devront acquérir de nouvelles compétences, est indispensable. C'est possible. Evidemment cela a un coût, mais c'est notre avenir qu'il faut construire. Il vaut mieux consacrer 100 milliards d'euros au développement des transports collectifs, au développement des énergies renouvelables, et aux emplois non délocalisables qui y contribuent, que lâcher sans contrepartie 9 milliards d'euros à une industrie automobile qui pousse ses sous-traitants à délocaliser.
Tout cela a été développé par les candidats d'Europe-écologie, et notamment par Yannick Jadot lors de la réunion publique de Pont-l'Abbé le mercredi 27 mai. Une quarantaine de personnes a participé à cette réunion passionnante. Pour ceux qui n'ont pas pu venir, tout n'est pas perdu. Rendez-vous sur le site "kemper l'écologie à gauche". Vous pourrez y découvrir la vidéo de la soirée.
Mais qu'on ne s'y trompe pas, cette préoccupation n'est pour beaucoup qu'une façade. Comment en effet peut-on prétendre se préoccuper de l'avenir de notre planète quand on entend développer le recours à l'énergie nucléaire ? Comment peut-on intégrer l'urgence écologique quand on refuse de s'interroger sur nos modes de vie et sur la répartition des richesses ?
Face à l'enjeu majeur du réchauffement climatique, les vraies solutions existent, et ce sont ces mêmes solutions qui nous permettront de surmonter la crise économique et financière qui frappe durement les plus fragiles d'entre nous. Ce sont des solutions concrètes, de bon sens, qui ont déjà été testées et qui ont fait leurs preuves.
La conversion écologique de l'économie, accompagnée d'un contrat de conversion pour les travailleurs qui devront acquérir de nouvelles compétences, est indispensable. C'est possible. Evidemment cela a un coût, mais c'est notre avenir qu'il faut construire. Il vaut mieux consacrer 100 milliards d'euros au développement des transports collectifs, au développement des énergies renouvelables, et aux emplois non délocalisables qui y contribuent, que lâcher sans contrepartie 9 milliards d'euros à une industrie automobile qui pousse ses sous-traitants à délocaliser.
Tout cela a été développé par les candidats d'Europe-écologie, et notamment par Yannick Jadot lors de la réunion publique de Pont-l'Abbé le mercredi 27 mai. Une quarantaine de personnes a participé à cette réunion passionnante. Pour ceux qui n'ont pas pu venir, tout n'est pas perdu. Rendez-vous sur le site "kemper l'écologie à gauche". Vous pourrez y découvrir la vidéo de la soirée.
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